(1808 - 1879)
UN ENGAGEMENT D'ARTISTE. - Vous voulez un engagement à mon théâtre.... c'est très bien mademoiselle... comme vous êtes jolie, pour vous ça ne sera que douze cents francs.... que vous me paierez chaque année bien entendu!.... - J'accepte.... mais c'est à condition que je n'aurai pas d'augmentation!
Plate 72 from Les Beaux Jours de la Vie
Lithograph
(1808 - 1879)
La Réputation
Plate 12 from "Les Gens de Justice"
(1808 - 1879)
La Voleur
Plate 26 from "Les Philantropes du jour"
(1808 - 1879)
Vue, plan, coupe et élévation des nouveaux omnibus du boulevard.
NOTA. - Ces nouvelles voitures ont reçu la haute approbation de l'homme à la perche, de l'homme mouche, de l'intrépide Thévelin et autres Gymnasiarques distingués.
(1808 - 1879)
- Ah! monsieur.... faut pas lui rire comme ça, vous allez l'faire pleurer! .....
(1808 - 1879)
LA FEMME DU REPRÉSENTANT.
- Mon ami, j'ai besoin d'un chapeau?
- Ma bonne, je suis représentant, si tu as une demande à me faire, adresse une pétition à la chambre.
- Oui, je te connais, tu demanderas l'ordre du jour!
(1808 - 1879)
LE MARI DU BAS BLEU.
Monsieur, ma femme est inspirée depuis ce matin: impossible de la voir; je suis comme vous voyez obligé de prodiguer mes soins au dernier ouvrage, que nous avons fait en collaboration!
(1808 - 1879)
Après une discussion vive et animée.
Deux profils célèbres.
Lithograph
(1808 - 1879)
LE NOUVEAU CHAR DE LA VICTOIRE.
(1808 - 1879)
Allons lancez vous Père Goutot c'est une vraie lessive!
(1808 - 1879)
Voyez vous bourgeois, vous êtes justement dans l’âge et dans la force ; quand un homme est taillé comme vous et qu’il se soutient sur l’eau ça flatte un professeur prenez des leçons, coupez les de petits verres, et vous irez chouettement !
(1808 - 1879)
Eh bonjour! enchanté de vous rencontrer. – Comment se porte Madame ? – A merveille. – Dans l’eau, je ne vous reconnaissais pas; je vous prenais pour un lion – Vous êtes bien bon, c’est ce que tout le monde me dit.
(1808 - 1879)
Parole d'honneur Mme Frenouillet, ce n'est pas pour nous flatter mais nous pinçons la natation un peu crânement. En nous voyant on jurerait deux poissons...... Une Carpe et une Anguille.
(1808 - 1879)
LE BÊTOPHILE.
Le bonheur suprême du Bêtophile est de se composer à domicile une petite ménagerie au sein de laquelle il passe sa vie. On peut lui appliquer avec vérité le proverbe: "Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es.
(1808 - 1879)
Un cauchemar d'un bon petit bourgeois de la Place St Georges.
(1808 - 1879)
L'ANNIVERSAIRE DU MARIAGE.
- Il y a pourtant aujourd'hui trente et un an, monsieur Coquelet!...
- C'est vrai!... aussi nous allons fêter ce jour mémorable..... mangeons une tourte aux godiveaux!
(1808 - 1879)
- Adieu ma chère Flora.... ne manquez pas d'adresser au bureau du journal deux exemplaires de vos bulles de savon... et je ferai mousser cela dans mon feuilleton.
(1808 - 1879)
-Tu connais bien l'gros député d'en face, qu'est représentant à 25 francs par jour, eh ben j'ai lu c'matin de dessus l'journal qu'on l'a chargé d'une commission! - Une commission ça s'paye généralement soixante quinze centimes sans la réponse encore..... ça lui aura donc fait ce jour là 25 francs 15 sous, qu'elle chance!
(1808 - 1879)
Le voyage en chemin de fer est moins amusant que ne l'espérait Rifolard.
(1808 - 1879)
Une querelle d’Allemand.
- …. Oui, Monsieur, faites moi le plaisir d’assigner ce gaillard là à bref délai… attenu que le dit sieur se refuse à imprimer mon journal et par ce fait ruine mon entreprise ; pour se voir condamner à 67,000 f de dommages et intérêts….. – Mais sur quoi fonde.t.il son refus ? – Oh sur une bêtise….. une misère,,,, sur ce que je dois le payer comptant et que je suis en arrière de 21 mois…. C’est un pauvre prétexte, une querelle d’allemand.
(1808 - 1879)
- Mon Dieu, mon Dieu...., pourvu qu'il ne déracine pas l'arbre !....
(1808 - 1879)
L'unité allemande
(1808 - 1879)
UN PÈRE HEUREUX.
- Voila donc mon enfant vacciné.... je suis certain maintenant qu'il conservera désormais toute sa beauté!...
(1808 - 1879)
UNE PROFESSION DE FOI.
Oui, monsieur, j'ai mis ma vie politique à nu devant le pays. Je croyais alors que mon amour sincère pour nos institutions me rendait digne de représenter mes concitoyens..... Je me suis trompé monsieur, grossièrement trompé!!